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mercredi, 30 novembre 2022
FRAIS DISPO présente leur premier extrait Juillet

Audiogram est fière d’accueillir dans ses rangs Frais Dispo, le nouveau projet des membres de Foreign Diplomats, et de dévoiler Juillet, le tout premier extrait du groupe en français.

Pour Élie Raymond, Antoine Lévesque-Roy, Thomas Bruneau Faubert et Charles Primeau, Frais Dispo est une suite logique du parcours entrepris en 2013 avec la parution d’un premier EP, Foreign Diplomats, et de trois albums en anglais, Princess Flash (2015), Monami (2019) et ] [ (2020).

Mais c’est aussi l’occasion d’élargir leur palette musicale. « Quand est venu le temps d’écrire de nouvelles chansons, le français s’est imposé tout naturellement, explique Élie Raymond, chanteur, guitariste et parolier de Frais Dispo. Tout le monde a embarqué et de là sont venus notre nouveau nom et le goût d’explorer d’autres sonorités, comme le alt-country et le folk. »

Pendant près de 10 ans, les membres de la formation Foreign Diplomats ont promené leur indie-pop sur les scènes d’ici et d’ailleurs, assurant la première partie de groupes de premier plan comme Violent Femmes, Phantogram, Teenage Fanclub, Vance Joy et Half Moon Run dans le cadre de festivals renommés tels que Reeperbahn (Allemagne), Paléo (Suisse), Les Primeurs (France), Cervantino (Mexique), Osheaga, Festival international de jazz de Montréal et Festival d’été de Québec.

Et moi

Je continue encore tout droit

Sans voir

Je continue encore tout droit

Coréalisé par Frais Dispo et Antoine Gallois, qui s’est joint au groupe comme batteur au terme des séances d’enregistrement, Juillet offre un avant-goût du disque à paraître en avril prochain, Teinte. « Juillet est sans doute la pièce de l’album qui se rapproche le plus du son de Foreign Diplomats, nuance toutefois le guitariste Charles Primeau. C’est une façon pour nous de faire la transition vers Frais Dispo et d’ouvrir la voie à ce qui s’en vient. »

Réflexion sur le temps qui passe et la langueur du quotidien, la pièce Juillet est portée par des guitares eighties, une basse bondissante et des claviers scintillants sur lesquels flotte la voix aérienne et mélancolique d’Élie Raymond.